. . . "Jules Hardouin- Mansart" . . . . . . . . . "Jules Hardouin-Mansart (1646-1708)"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1646"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1708"^^ . . . . "Marly" . . . . . . . . . . . . "Jules Hardouin-" . . . . . . . . . . . . "Marly" . . . . . . . . . "male" . . . . . . . . "L’architecte en chef du projet, Libéral Bruant (1635-1697), propose pour l’hôtel des Invalides un plan quadrillé, motif sur lequel il avait déjà travaillé au cours d’un autre chantier : l’hôpital de la Salpêtrière (dans l’actuel 13e arrondissement de Paris). Les vocations de ces deux institutions se rejoignent aussi : elles doivent offrir la charité aux pauvres et aux délaissés. Tandis que le cardinal Mazarin souhaitait réunir les misérables de Paris à la Salpêtrière, les vétérans, qui jusqu’alors étaient livrés à leur propre sort, sont dorénavant nourris et logés aux Invalides." . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Mansart" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Chapelle royale des Invalides : une coupole peut en cacher une autre : Ressource du site Passerelles" . . "Le dôme des Invalides surprend par la richesse de sa décoration. La couverture est réalisée principalement en plomb et cuivre. Les nervures du dôme et les ornements sont dorés à la feuille d’or." . "Architecture" . . . . . . . . . "12553191"^^ . . . . . . "1646" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Architecture" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La charpente du dôme des Invalides : Ressource du site Passerelles" . . . . . . . . . . . "La couverture du dôme des Invalides : Ressource du site Passerelles" . . . "En 1670, Louis XIV ordonne la construction à Paris de l’hôtel des Invalides, afin de loger, aider et assister les soldats infirmes des armées. Cette institution militaire et charitable adopte une architecture grandiose et monumentale, dominée par un dôme de 107 m de hauteur. Depuis 1840, les Invalides abritent le tombeau de Napoléon I er .. - 48.857093, 2.312768" . "En parallèle à sa mission de charité, l’hôtel des Invalides est l’expression du pouvoir. Jusque dans sa décoration, le bâtiment doit glorifier la nation et ceux qui la gouvernent." . . . . . . . . . . . . . . . . . "1708" . . . . . "Histoire des Invalides : Ressource du site Passerelles" . . . . . . "0000000081158627" . . . . . . . . . . "Architecte. - Petit-neveu et élève de François Mansart (dont il prit le nom), puis élève de Libéral Bruant, il fut l'architecte favori de Louis XIV"@fr . . . . "De par ses formes courbes, son matériau de couverture et sa hauteur, le dôme des Invalides a posé et pose toujours de grandes contraintes. Les pièces de la coupole des Invalides doivent être courbes.\nLeur assemblage est très complexe. Les bâtiments annexes à la chapelle sont couverts de toitures à combles brisés, dites \"à la Mansart\".Cette charpente à combles brisés permet alors de dégager un étage supplémentaire au sommet du bâtiment. \nOn comprend que le terme “mansarde” dérive du nom de l’architecte." . . . . . . . . . . . . . . . . "Architecte. - Petit-neveu et élève de François Mansart (dont il prit le nom), puis élève de Libéral Bruant, il fut l'architecte favori de Louis XIV" . . . . . . . . . . . . "VIAF" . "L’hôtel des Invalides, symbole du pouvoir : Ressource du site Passerelles" . . . . . . . . . . . . "Coupe du dôme des Invalides" . "Paris" . "Jules Hardouin- Mansart (1646-1708)"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Architecte. - Petit-neveu et élève de François Mansart (dont il prit le nom), puis élève de Libéral Bruant, il fut l'architecte favori de Louis XIV" . "2013-07-29"^^ . . . . "L'hôtel des Invalides : Ressource du site Passerelles" . . . . . . . "Le sol de la chapelle royale est pavé d’une riche mosaïque de pierre. \nC’est en Italie que s’est surtout épanouie la mosaïque, art très ancien. Au XVII e siècle, la mosaïque rencontre un vif succès en France, à tel point que Louis XIV fait venir des mosaïstes italiens pour leur commander des œuvres mais aussi former des artisans. \nLe roi fait alors ouvrir un atelier de mosaïques de pierres dures à la manufacture des Gobelins pour concurrencer les ateliers de Sienne et de Florence. Dans le mobilier comme dans l’architecture, la mode est à la multiplication des couleurs (polychromie) : aux Invalides, on compte une vingtaine de sortes de marbres polis, de couleurs ocre, rouge, ivoire, jaune, vert, bleu, veinés ou uniformes… \nLes motifs répondent aux règles de l’héraldique (science des blasons) : les fleurs de lys, emblèmes de la royauté de France, se répètent à intervalles réguliers dans une composition géométrique qui rappelle les travaux de marqueterie, d’ébénisterie ou de tapisserie de l’époque.\nLes dessins sont réalisés par François Lespingola et les mosaïques exécutées par six marbriers. Après avoir battu et aplani la terre, les ouvriers posent un enduit puis de la résine de pin sur le sol. Les tessons de marbre, d’une épaisseur de 3 ou 4 ml, sont chauffés avant la pose pour adhérer à la résine." . . . . . "Le pavement de la chapelle royale des Invalides : une vingtaine de sortes de marbres polis : Ressource du site Passerelles" . . . . . . . "Pour la coupole de la chapelle royale des Invalides, Jules Hardouin-Mansart fait preuve d’une ingéniosité exceptionnelle. En réalité, il n’y a pas une mais deux coupoles qui se superposent : une première, percée en son milieu, laisse apparaître la deuxième qui dissimule la charpente. \nExplorez l’image et cliquez pour découvrir les secrets de la coupole des Invalides." . . . "2013-07-30" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1997-02-17" . "Paris" .