LETTRE PREMIERE, de M. Guasco, Juif portugais de Londres, à M. Sweet-Mind, chanoine de Winchester.
Occasion et sujet des Lettres, etc., de quelques Juifs portugais.
LETTRE II, de l'auteur des Réflexions critiques, à M. P. agent de la nation portugaise de Bordeaux, en les lui envoyant.
REFLEXIONS CRITIQUES sur le premier chapitre du 7 e tome des Oeuvres de M. de Voltaire
LETTRE III, de l'auteur des Réflexions à M. de Voltaire, en les lui envoyant en manuscrit.
LETTRE IV. Réponse de M. de Voltaire à l'auteur des Réflexions critiques.
LETTRE V. De Joseph d'Acosta, Juif de Londres, au révérend docteur Jonhson, pasteur de Chestow en MontmouthShire, contenant quelques jugements sur les Réflexions critiques et sur M. de Voltaire.
Observations sur une note insérée dans le Traité de la tolérance, contre l'authenticité des livres de Moïse.
LETTRE PREMIERE. Occasion et dessein de ces Lettres.
LETTRE II. Note insérée dans le Traité de la tolérance. Ordre qu'on se propose de suivre en la réfutant.
LETTRE III. S'il était impossible à Moïse d'écrire le Pentateuque. Examen des raisons alléguées dans la Note.
§ I. Si la nature des matières sur lesquelles on gravait l'écriture du temps de Moïse pouvait l'empêcher d'écrire le Pentateuque.
§ II. Si les caractères qu'on employait du temps de Moïse purent l'empêcher d'écrire le Pentateuque.
§ III. Si l'état où les Israélites se trouvaient dans le désert pouvaient empêcher Moïse d'écrire le Pentateuque.
LETTRE IV. Où l'on cherche quels peuvent être les sentiments particuliers de l'illustre auteur sur les caractères et les matières qu'on employait pour écrire du temps de Moïse. Variations et contradictions du docte écrivain sur ces deux objets.
§ I. Ses contradictions au sujet des caractères qu'on employait pour écrire du temps de Moïse.
§ II. Qu'il contredit encore ses écrivains, et qu'il se contredit lui-même au sujet des matières dont on faisait usage pour écrire du temps de Moïse.
§ III. Réflexions sur l'opinion du quaker; qu'elle est absurde.
§ IV. Sur le reproche d'inconséquence et de contradiction qu'il fait à l'auteur d' Emile.
LETTRE V. Où l'on répond aux objections rapportées dans la Note contre l'histoire de l'adoration du veau d'or.
§ I. S'il est impossible à la chimie la plus savante de réduire l'or en poudre qu'on puisse avaler.
§ II. S'il fallait un miracle ou trois mois de travail pour jeter en fonte le veau d'or.
§ III. Si Aaron jeta le veau d'or en fonte en un seul jour.
§ IV. S'il était impossible aux Juifs de fournir assez d'or pour faire cette statue.
§ V. Sur les vingt-trois mille hommes que ces critiques prétendent avoir été égorgés pour avoir adoré le veau d'or.
§ VI. Si c'est un fait absolument inconcevable, que les Hébreux aient demandé le veau d'or pour l'adorer au pied du mont Sinaï.
§ VII. De la prévarication d'Aaron, de son élévation au sacerdoce.
§ VIII. Que le récit de l'adoration du veau d'or et de la prévarication d'Aaron n'a pu être ajouté aux livres de Moïse.
LETTRE VI. On répond à une autre objection sur l'adoration du veau d'or et la prévarication d'Aaron.
LETTRE VII. S'il est incroyable que les Israélites, auprès du mont Sinaï, aient pu fournir aux dépenses de la construction du tabernacle et autres ouvrages décrits dans l' Exode.
§ I. Que l'objection que se font ces critiques porte à faux, de la manière qu'ils se la proposent. Leur méprise au sujet des colonnes du tabernacle.
§ II. Fausse réponse de ces écrivains: que les ouvrages dont parle Moïse furent faits dans le désert, et non renvoyés à d'autres temps.
§ III. Si les Hébreux, en arrivant au mont Sinaï, étaient un peuple pauvre, à qui tout manquait.
§ IV. S'il est incroyable que les Hébreux, en arrivant au mont Sinaï, aient pu faire les frais de divers ouvrages mentionnés dans l' Exode.
§ V. Réfutation de ce qu'on pourrait objecter contre les calculs précédents.
§ VI. Sources des erreurs de ces écrivains sur cette matière.
LETTRE VIII. Sur les vingt-quatre mille Israélites prétendus massacrés à l'occasion des femmes moabites et du culte de Béelphégor.
§ I. S'il est vrai que ces vingt-quatre mille hommes furent massacrés pour expier la faute d'un seul.
§ II. Si Zambri et ces vingt-quatre mille hommes Israélites n'étaient que légèrement coupables.
LETTRE IX. Où l'on examine ce qu'ont pensé sur la Pentateuque les savants cités dans la Note.
§ I. Sentiments de Wollaston, nommé mal à propos dans la Note Volaston et Vholaston.
§ II. Sentiments d'Aben-Ezar.
§ III. Sentiments de Le Clerc.
§ IV. Sentiments de Newton.
§ V. Sentiments de Shaftesbury et de Bolingbrocke.
§ VI. Sentiments de Collins et de Tiindal.
LETTRE X. Sur le reproche que fait l'auteur aux anciens Juifs, que la bestialité était commune parmi eux.
§ I. Si l'auteur a pu prouver, par le chapitre XVII du Lévitique, que le crime en question était commun parmi nos pères.
§ II. Si la coutume des sorciers d'adorer un bouc, etc., vient des anciens Juifs.
§ III. Si la loi qui défendait la bestialité chez les Juifs, prouve que ce crime était commun parmi eux.
§ IV. Si le séjour des Hébreux dans le désert a pu occasionner le penchant que l'auteur leur attribue pour ces désordres. Que la loi qui excepte des massacres les filles nubiles, ne prouve point qu'ils aient manqué de filles dans le désert.
Observations sur les deux chapitres du Traité de la tolérance, qui concernent les Juifs.
LETTRE I. Dessein de cette seconde partie.
LETTRE II. Considération sur les lois rituelles des Juifs.
§ I. S'il est incontestable que Dieu ait commandé plus de choses à Moïse qu'à Abraham, et plus à Abraham qu'à Noé.
§ II. Fausse idée que le savant critique voudrait donner du droit divin des Juifs.
§ III. Vains efforts du critique pour rendre ridicules les lois rituelles des Juifs. Manducation de l'agneau pascal; consécration du grand-prêtre.
§ IV. Animaux interdits aux Juifs, motifs de ces défenses.
§ V. Des ixions et des griffons.
§ VI. Autres animaux défendus.
§ VII. Deux autres motifs de l'interdiction de tous ces animaux.
§ VIII. De quelques autres lois rituelles et de leurs motifs.
§ IX. Motif général de toutes les lois ritue
LETTRE III. Que l'intolérance des cultes étrangers était de droit divin dans le judaïsme. Que la loi juive était intolérante, qu'elle ne l'était pas seule, et qu'elle l'était plus sagement que les lois des anciens peuples.
§ I. Que la loi juive était intolérante sur le culte.
§ II. Pourquoi la loi juive était si sévère et si intolérante sur le culte.
§ III. Que l'intolérance sur le culte n'était point particulière à la loi juive.
§ IV. Comment la loi était intolérante. Comparaison de cette intolérance avec celle de quelques autres peuples.
LETTRE IV. Vains efforts de l'illustre écrivain pour prouver la pratique d'une tolérance universelle sous le gouvernement de Moïse. Assertions singulières qu'il avance. Méprises dans lesquelles il donne.
§ I. Qu'il n'est pas vrai que, sous le gouvernement de Moïse, les Israélites eurent une liberté entière sur le culte.
§ II. Que c'est à tort que M. de Voltaire prétend que les Hébreux ne reconnurent que des dieux étrangers dans le désert, et qu'ils n'adorèrent Adonaï, qu'après qu'ils en furent sortis. Passage d'Amos et de Jérémie. Qu'ils ne contredisent point ceux de Moïse.
§ III. Qu'il est faux qu'il ne soit parlé ni de prière publique, ni de fêtes, ni d'aucun acte religieux du peuple juif dans le désert.
§ IV. Pourquoi le Pentateuque ne parle d'aucun acte religieux du peuple dans le désert, pendant l'espace de trente-huit ans. Comment les écrivains sacrés ont pu dire que les Hébreux servirent pendant quarante ans des dieux étrangers.
§ V. Dieux étrangers adorés par les Israélites dans le désert. S'ils furent tolérés par Moïse. Passage du livre de Josué, v. 20.
§ VI. Passage du Deutéronome; faux sens que le critique lui donne.
§ VII. Si Moïse transgressa la loi qu'il avait donnée, de ne faire aucun simulacre. Serpent d'airain. Boeufs de Salomon.
LETTRE V. Si M. de Voltaire prouve mieux la pratique d'une tolérance universelle dans le judaïsme par l'histoire des Juges. Explications de divers passages de l'Ecriture.
§ I. D'un passage du livre des Juges, où Jephté parle de Chamos.
§ II. De Michas et de six cents hommes de la tribu de Dan.
§ III. Culte de Baal-Bérith.
§ IV. Des Bethsamites frappés de mort au retour de l'arche. Réflexions critiques sur ce sujet.
LETTRE VI. Des faits que le savant critique tire de l'histoire des Rois, pour prouver la pratique d'une tolérance universelle dans le judaïsme. Que ces faits et toute cette histoire prouvent précisément tout le contraire.
§ I. Idolâtrie de Salomon, de Roboam, de Jéroboam, etc. Quelle preuve en faveur de la tolérance!
§ II. Du grand-prêtre Urias.
§ III. Conduite d'Aza et autres rois. S'ils furent tolérants. Maladresse du savant écrivain.
LETTRE VII. Preuves d'une tolérance universelle dans le judaïsme, tirées des prophètes.
§ I. Sévérité d'Elisée.
§ II. Si Elisée permit à Naaman d'adorer les idoles.
§ III. Rois idolâtres appelés par les prophètes, les serviteurs de Dieu.
§ IV. Passages de Malachie.
§ V. Des Ninivites, de Melchisédech, de Balaam, etc.
§ VI. Passage d'Ezéchiel.
LETTRE VIII. Des différentes sectes juives. Si elles prouvent la pratique d'une tolérance extrême dans le judaïsme. Méprise et contradiction du savant critique.
§ I. Des Pharisiens.
§ II. Des Esséniens.
§ III. Des Sadducéens.
§ IV. Si ces sectes se tolèrent.
CONCLUSION.
LETTRE de Joseph Ben-Jonathan à David Wincker sur le Petit Commentaire qui suit.
EXTRAIT D'UN PLUS GRAND, A L'USAGE DE M. DE VOLTAIRE ET DE CEUX QUI LISENT SES Oeuvres.
PREMIER EXTRAIT. Réfutation de l'article Fonte, tiré des Questions sur l'Encyclopédie. Que le veau d'or a pu être jeté en fonte en moins de six mois.
§ I. Observations sur le titre de la réponse de M. de Voltaire à deux de nos Lettres.
§ II. Petite ruse du savant fondeur.
§ III. Autre petite ruse.
§ IV. Faux reproches qu'il nous fait.
§ V. De quelques beaux secrets inventés par l' artiste.
§ VI. Raisons qu'allègue l'illustre écrivain, pour prouver qu'on ne peut jeter en fonte, en moins de six mois, sans miracle, un veau d'or de trois pieds, travaillé grossièrement.
§ VII. Si, et comment on pourrait jeter en fonte un veau d'or de trois pieds, non-seulement en moins de six mois, mais en quinze jours et même en huit.
§ VIII. Moyen que peut prendre l'illustre écrivain pour lever tous ses doutes sur cette matière.
II e EXTRAIT. Réfutation sur l'article Fonte, tirée des Questions sur l'Encyclopédie: suite. Fonte du veau d'or. Or potable.
§ I. Savants procédés connus par l'habile chimiste.
§ II. Il change encore l'état de la question.
§ III. Il nous fait dire ce que nous n'avons point dit.
§ IV. Or potable de M. de Voltaire.
§ V. Or potable des chimistes.
§ VI. De feu M. Rouelle, et du cas qu'il faisait de la chimie de M. de Voltaire.
III e EXTRAIT. Réfutation d'un article tiré des Questions sur l'Encyclopédie: suite. De l'écriture gravée sur lapierre. De la prétendue pauvreté des Hébreux, etc.
§ I. De l'écriture gravée sur la pierre.
§ II. De la prétendue pauvreté des Hébreux dans le désert.
§ III. Jugement porté sur nos Lettres par l'illustre écrivain.
§ IV. Conseil donné et rendu.
§ V. De l'article Fonte, tel qu'on le lit dans les Questions sur l'Encyclopédie.
IV e EXTRAIT. D'Adam et de son histoire; de Noé et de ses trois fils.
§ I. Si Adam fut créé mâle et femelle.
§ II. Formation de la femme. Si ce récit est déplacé, et d'où serait venu ce déplacement.
§ III. Adam nomme les animaux: mauvaises plaisanteries du critique.
§ IV. Sur le paradis terrestre. S'il avait 1800 lieues. Où il était situé.
§ V. Si la formation de la femme est physique ou allégorique.
§ VI. Arbre de vie; arbre de la science du bien et du mal. Menace de mourir.
§ VII. Serpent qui parle et qui séduit Eve.
§ VIII. Objections du critique: réponses.
§ IX. Si n'admettre dans ce récit qu'un pur serpent ou une simple allégorie morale, vague et arbitraire, c'est assez pour l'expliquer raisonnablement.
§ X. S'il ne se trouve, dans les anciennes nations, aucune trace de l'histoire des premiers parents et restaurateurs du genre humain.
§ XI. Si les noms des premiers parents et restaurateurs du genre humain ont été ignorés de tous les peuples anciens. Grande découverte, et contradiction du critique.
§ XII. Est-il aussi étonnant que le critique le pense, que divers peuples paraissaient avoir ignoré ces noms.