DISCOURS préliminaire, où l'on expose la doctrine professée par l'Eglise Romaine, et sa pratique constante au sujet de la persécution des Protestans,
SECTION I. Questions préliminaires sur les préjugés du Peuple, sur les termes d'Etranger et d'Anglois, sur les services que les Étrangers ont autrefois rendus au Commerce de cette Nation,
SECT. II. De l'introduction des nouvelles Manufactures; de la perfection des anciennes, et de l'accroissement du Commerce,
Acte, pour l'encouragement des Manufactures de Toiles et de Tapisseries,
SECT. III. Des Materiaux pour le travail; et de l'emploi des Pauvres.
SECT. IV. Sur les causes du manque d'emploi des Hommes,
SECT. V. Examen des autres causes auxquelles on attribue le manque d'emploi des Hommes,
S ECT. VI. FAUX PRÉTEXTE: Commençons par trouver de l'emploi pour ces Etrangers, avant que les appeller,
Réponse,
SECT. VII. La multiplication des Habitans est la force d'un Roïaume,
SECT. VIII. L'augmentation du Peuple est la richesse d'un Etat,
SECT. IX. La multiplication des Habitans augmente le revenu du Propriétaire des Terres,
SECT. X. L'amélioration des Terres dépend de la multiplication du Peuple,
SECT. XI. Les deux interêts du Roiaume, l'intérêt terrien, l'intérêt du Commerce, rentrent l'un dans l'autre,
SECT. XII. Situation des Etrangers qui ont de l'argent dans nos fonds publics, et des Commerçans et Artisans riches qui vivent dans certains Païs de l'Europe,
SECT. XIII. Des Taxes de toute espece, et particulierement de la Taxe pour les Pauvres,
SECT. XIV. Du Droit de naissance d'un Anglois.
SECT. XV. Du véritable intérêt des Anglois,
SECT. XVI. Dans le Commerce, si l'on n'a pas de Rivaux au-dedans, on en a au-dehors,
SECT. XVII. Examen de cette Objection: Que les Etrangers ôteroient le pain de la bouche à nos Compatriotes, et nous enleveroient les secrets du Commerce,
SECT. XVIII. Il est également de la bonne politique d'envoïer des Anglois dans nos Colonies, et d'attirer des Etrangers pour venir augmenter notre nombre,
SECT. XIX. Si, en cas que le Bill de Naturalisation eût passé, il est probable que les Mendians en eussent le plus profité?
SECT. XX. Si, en cas que le Bill pour la Naturalisation eût passé, il est probable que les Libertins et les mauvais Sujets eussent été les plus empressés à en profiter?
SECT. XXI. Quel est le moïen le plus doux et le plus efficace pour réformer les moeurs d'une Nation?
SECT. XXII. L'admission des Etrangers, considerée par rapport à la constitution de l'Eglise et à celle de l'Etat,
SECT. XXIII. Des leçons de l'humanité, et des principes du Christianisme,