Pays : | Pays-Bas avant 1830 |
Sexe : | masculin |
Naissance : | Leyde, Pays-Bas, 07-04-1613 |
Mort : | Leyde, Pays-Bas, 02-1675 |
Note : | Peintre |
Domaines : | Peinture |
Autres formes du nom : | Gerrit Dou (1613-1675) Gerard Dov (1613-1675) Gerrit Dov (1613-1675) Voir plus |
ISNI : | ISNI 0000 0001 0859 4649 |
[estampe]
Description matérielle : 1 est. : burin ; 31,1 x 26,1 cm (tr. c.), 46,9 x 34,3 cm (élt. d'impr.)
Description : Technique de l'image : estampe. - burin
Note : Musée Français, Seconde Partie. - Tableau conservé au Musée du Louvre INV 1220
Sources : IFF Kessler. - HdG, t.1, n°65. - KdK, t.24, p.76
Édition : [Paris : Robillard-Péronville : Laurent , 1805]
Éditeur commercial : Laurent (éditeur, 17..-18.. )
Illustrateur : Felice Giani (1760-1823)
Destinataire de l'envoi : Laurent (éditeur, 17..-18.. ), Napoléon Ier (empereur des Français, 1769-1821)
Graveur : Aloys Kessler (1777-1820)
Dédié à son Altesse --- Royale l'Archiduc Ferdinand // Gouverneur et Capitaine Général --- de la Lombardie autrichienne &c // Par son très humble et très // obéissant Serviteur Feigl. // Le Tableau de même grandeur, est dans la galerie Schleisheim qui appartient à l'Electeur de Bavière., [estampe]
Description matérielle : 1 est. : eau-forte, burin ; 37,5 x 30 cm (tr.c.), 46 x 34,7 cm (f.)
Description : Technique de l'image : estampe. - eau-forte. - burin
Note : Installé à Paris en 1776, Feigel quitte cette ville assez rapidement pour Münich où il reçoit la commande de cette gravure qui sera éditée à Paris
Sources : ThB. - Le Blanc, n° 12. - Nagler. - Basan, t. III, p. 68. - HdG, t. 1, n° 130 : tableau désormais conservé à la Alte Pinakothek de Münich, ne mentionne pas la gravure
Édition : , [1776]
Éditeur commercial : Jacques-François Chéreau (1742-1794)
Destinataire de l'envoi : Johann Feigel (gr, 17..-1... ), Ferdinand (archiduc, 17..-17..?)
Graveur : Johann Feigel (gr, 17..-1... )
[estampe]
Description matérielle : 355 est. : eau-forte, burin
Description : Technique de l'image : estampe. - eau-forte. - burin
Note : Cette collection fut dispersée en 1790 mais le projet de la Galerie gravée était antérieure comme l'explique l'historique de la Galerie : "Heureusement que le sieur Couché, graveur du cabinet du duc d'Orléans, conçut, en1785, le projet de faire graver la collection entière de cette galerie. Il proposa l'ouvrage par souscription, et le succès encouragea son entrepris. Presque tous les dessins étaient terminés, et trente livraisons avaient été publiées, lorsque le duc vendit ses tableaux. Ce contre-tems n'arrêta point l'éditeur. Les livraisons se continuèrent avec assez d'exactitude jusqu'au moment où les désastres de la révolution ralentirent et firent même suspendre cette publication [---] Le sieur Couché se réunit , en 1806, aux sieurs Laporte et Bouquet pour conduire à sa fin une entreprise aussi utile aux arts qu'agréable aux amateurs. Ces éditeurs sont parvenus à compléter l'ouvrage qu'ils ont porté à cinquante-neuf livraisons. Ils le publient aujourd'hui en trois volumes in-fol., contenant ensemble 355 estampes, classées par écoles. - Comme ne l'indique pas l'Historique de la Galerie, le premier tome est daté de 1786 et édité par Couché et Bouilliard. Les deuxième et troisième tomes sont datés de 1808 et édités par Couché (qui a changé d'adresse), Laporte et Bouquet (ce dernier ne figure pas dans la page de titre mais dans l'explication du premier tome). Il se peut que le premier tome soit antidaté comme le prouve l'Historique pour rendre visible la date de début de projet et de création des dessins. - Ici, seules les pl. gravées par des allemands sont cataloguées. Les notices entières sur chaque tableau et manière du peintre ne sont pas retranscrites. Le modèle de la lettre est constant : les signatures, le titre, les armoiries du duc d'Orléans, mention de la Galerie, école du peintre, numérotation du tableau en fonction du peintre, dimensions etsupport de la peinture puis notoce sur la manière du tableau. Certaines pl. n'ont pas les armoiries. Les dimensions ne tiennent compte que de l'image et de l'élément d'impression
Sources : Journal de Paris, le 16 Février 1786 (première livraison puis régulièrement pour chaque livraison)
Édition : Paris : Jacques Couché : Jacques Bouilliard : Bouquet : Laporte : A.P.D.R. , 1786-1808
Éditeur commercial : Jacques Bouilliard (1744-1806), Bouquet (éditeur, 17..-18.. ), Jacques Couché (175.-1821?), Antoine-Louis-Guillaume-Catherine Laporte (1746-1817)
Graveur en lettres : Mademoiselle Niquet (graveur, 17..-18..?)
Illustrateur : Francesco Albani (1578-1660), Le Baroche (1528?-1612), L. Beaudoin (dessinateur, 17..-18.. ), Abraham Bloemaert (1566?-1651?), Pierre-Philippe Choffard (1730-1809), Grangeret (graveur, 17..-18.. ), Pietro Antonio Martini (1739-1797), Franz van Mieris (1635-1681), Caspar Netscher (1639-1684), Palma le Vieux (1480?-1528), Le Parmesan (1503-1540), Le Pordenone (1484?-1539), Nicolas Poussin (1594-1665), Raphaël (1483-1520), Rembrandt (1606-1669), David Téniers (1610-1690), Titien (1489?-1576), Valentin de Boulogne (1591-1632), Pieter Van Mol (1599-1650), ? Vandenberg (dessinateur, 17..-18.. ), Jean-Baptiste Wicar (1762-1834)
Dédicataire : Louis Philippe Joseph d' Orléans (1747-1793)
Dédicateur : Jacques Couché (175.-1821?)
Imprimeur : Henri-Louis Perronneau (17..-1812)
Auteur du texte : Abbé de Fontenai (1736-1806)
Graveur : Carl Gottlieb Guttenberg (1743-1790), Heinrich Guttenberg (1749-1818), Johann Joseph Isidor Ignaz Huber (1759-18..), Christian Wilhelm Ketterlinus (1766-1803), Ignaz Sebastian Klauber (1753-1817), Robert de Launay (1749?-1814), Johann Friedrich Leybold (1755-1838), Georges Malbeste (1754-1843), Mademoiselle Niquet (graveur, 17..-18..?), Antoine Louis Romanet (1742-1810), Christian Jakob Schlotterbeck (1757-1811?)
[estampe]
Description matérielle : 1 est. : eau-forte, burin ; 27,6 x 18,9 cm
Description : Technique de l'image : estampe. - eau-forte. - burin
Note : Sous le tr. c., un texte de quatre lignes : "Je veux bien croire que vous estes // sçavante en l'art friand d'apprêter les ragouts // mais je me sens encor plus d'appetit pour vous // que pour la ragoût que vous faites" . - Signé à g. sous le tr. c. : Dau. Pas de signature de Surugue, mais la planche est attribuée à Surugue par Le Blanc. L'adresse est au milieu sous le texte
Sources : Louis Surugue : graveur français du XVIIe siècle : 1686-1762 : mémoire de maîtrise d'Histoire de l'art / réd. sous la dir. de Mademoiselle Marianne Grivel ; par Gaëlle Monnerie, [Rennes II, 1995], n° 122. - Le Blanc, 59
Édition : A Paris : chez L. Surugue montagne Ste Geneviève attenant le College de Laon , [entre 1720 et 1728 ?]
Éditeur commercial : Louis Surugue (1686?-1762)
Graveur : Louis Surugue (1686?-1762)
[estampe]
Description matérielle : 1 est. : burin ; 13,5 x 11 cm (tr.c.)
Description : Technique de l'image : estampe. - burin
Note : Galerie du Musée Napoléon, tome 4, pl. 363
Édition : Paris : Filhol , 1807
Éditeur commercial : Antoine Michel Filhol (1759-1812)
Illustrateur : Alexis Chataignier (1772-1817)
Graveur : Jean Massard (1740-1822)
La Femme hydropique. - [3]
Description matérielle : 10 diapositives : coul ; 24 x 36 mm
Description : Note : Cop. 1989
Édition : Paris : Réunion des musées nationaux (France) , 1989 (cop)
La Femme hydropique. - [13]
Description matérielle : 1 f - 40 diapositives : 27 cm ; coul ; 24 x 36 mm
Description : Note : Cop. 1989
Édition : Paris : Réunion des musées nationaux (France) , 1989 (cop)
Gérard Dou ou Gerrit Dou ou Dow, né le 7 avril 1613 à Leyde et mort le 9 février 1675, est un artiste-peintre néerlandais.Il est le principal représentant de l’école de Leyde, dite de la « peinture fine » (Fijnschilderei), dont la technique s'apparente à la miniature (enluminure). Formé par Rembrandt, il est si proche du style de son maître que l’on attribue certaines œuvres à un travail commun entre les deux artistes. Les tableaux de Gérard Dou ont la particularité d’être toujours de petit format, dans un style extrêmement minutieux, représentations de scènes souvent surmontées d’un encadrement en forme d’arc en trompe-l'œil.Il forma Frans van Mieris de Oudere et Gabriel Metsu.Il préférait peindre sur des panneaux de bois qui offraient une surface plus lisse que la toile, et se servait d’une loupe pour le fini des détails.On possède un portrait de lui par Étienne Compardel, probablement un de ses amis.
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