L'année 1652

Officier français envoyé en Acadie

Facteur d'orgue suisse

Imprimeur-libraire ; imprimeur ordinaire du Roi (et de l'université). - Natif de Miremont près Auterive (Haute-Garonne), a été 5 ans apprenti de l'imprimeur Jean II Boude à Toulouse à partir de 1669, avant de venir travailler à Aix chez Charles David. Succède à Claude Marchy dont il rachète l'imprimerie en 1680

Frère du pape Clément XI

Née Haider, elle épousa Gottfried Amman

Abbé de Saint-Sever-Cap, de Gascogne (1699). - Prédicateur

A aussi traduit du français en néerlandais

Auteur dramatique

Lieutenant général de police de Paris (janvier 1697-janvier 1718), ministre d'État. - Comte, puis marquis d'Argenson. - Membre de l'Académie française (élu en 1718)

Théologien de l'ordre des Minimes

Auteur dramatique

Ecclésiastique

Ambassadeur de Suède

Compositeur. - Chantre de la Chapelle papale (1629). - Prêtre

Romancier, auteur dramatique et historien. - Secrétaire du cardinal Ippolito Aldobrandini. - Collectionneur d'art

A écrit aussi en latin

Théologien et poète calviniste. - Étudiant à Genève en 1618, docteur de l'université de Sedan. - Pasteur à Chateaudun (en 1634), puis à Favières, Eure et Loir (en 1641). - Fils d'Abel d'Argent, greffier au grenier à sel de Sancerre

Peintre. - Réside en Italie, en France et aux Pays-Bas

Écrivait aussi en français

Pasteur reçu ministre au synode de Charenton (1618). - Exerça à Chartres jusqu'en 1631

Jésuite, professeur de lettres. - Poète

Ecclésiastique, recteur de la paroisse de Pluduno (1624). - Trésorier du Chapitre de la cathédrale de Saint-Brieuc. - Poète

Pasteur à Döblen (Allemagne). - Théologien. - Auteur d'un éloge de son oncle Balthasar Meisner (1556-1623)

Autre(s) graphie(s) : Allestry. - Libraire ; libraire de la "Royal Society" (1660). - En apprentissage de nov. 1638 à juillet 1647. Établi en 1652 ou peu avant. Père du poète Jacob Allestrye. Ruiné par l'incendie de Londres en 1666

Travaille en association avec le libraire John Martin

Fils de l'imprimeur-libraire de Lyon Benoît Bachelu et frère du libraire Claude Bachelu avec qui il s'associe. Épouse une fille du libraire de Lyon Pierre I Bailly en janv. 1668. Encore en vie en 1684 (vente aux Chartreux de Lyon)

Publie au moins une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Imprimeur-libraire ; imprimeur ordinaire du Roi, de monseigneur (l'évêque) de Limoges (et du collège). - Fils de l'imprimeur-libraire de Limoges Antoine Barbou. Travaille avec sa mère de 1652 à 1663. Décédé à Limoges en avril 1680. Sa veuve lui succède jusqu'en 1688 avant se retirer au profit de leur fils Pierre Barbou

Nom patronymique : Péronne Gilbert. - Variante de nom patronymique : Guimbert ; Guibert ; Gilbert. - Imprimeur du Roi et du collège [de Limoges]. - Succède à son mari, Antoine I Barbou, en 1652 et exerce conjointement avec son fils Martial I Barbou jusqu'en 1663

Publie une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Imprimeur-libraire ; imprimeur et libraire de l'ordre de Saint-Benoît. - Fils de l'imprimeur-libraire parisien Jean Billaine, à qui il succède dans son privilège d'imprimeur des Bénédictins. Reçu maître le 24 avril 1652. Succède également au libraire Pierre Lamy dont il épouse la veuve en 1662. Possède à l'étranger plusieurs dépôts-succursales, dont le plus important peut-être est dirigé à Rome par le libraire Crozier. Décédé à Paris en août 1681. Sa veuve lui succède. Fonds racheté vers 1683 par Jacques Morel qui continuera jusque vers 1690 d'ajouter à son adresse : "En la boutique de Louis Billaine"

Publie une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Publie au moins une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Imprimeur-libraire ; imprimeur (et libraire) ordinaire du Roi, de monseigneur l'évêque (comte d'Agen) (et du collège ; et du clergé). - Natif de Brax, près d'Agen. Frère puîné et successeur de l'imprimeur Bernard Bru en 1670 ; n'exerce auparavant que la librairie. Auteur de chroniques manuscrites rédigées entre 1652 et 1663. Son fils aîné Arnaud Bru lui succède en fév. 1697

Publie au moins une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Imprimeur-libraire ; imprimeur du Roi, du collège (1650) et de monseigneur l'évêque de Limoges (1638-1643). - Sa veuve et son fils Martial I Barbou lui succèdent en 1652

Publie une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Publie des mazarinades en 1650-1652. Peut-être apparenté aux libraires parisiens Jacques et Nicolas I et II Belley

Autre(s) graphie(s) : Belé ; Belles. - Libraire-relieur. - Reçu maître le 15 janv. 1637. Père de Nicolas I Belley, libraire et relieur. Publie des mazarinades entre 1650 et 1652. Semble avoir rédigé lui-même au moins une partie des pièces qu'il publie en 1650. Travaille notamment pour Gaston d'Orléans. Exerce jusqu'en 1652 au moins. Décédé après le 29 oct. 1687. Son fils lui succède aux mêmes adresse et enseigne en 1689

Libraire. - Reçu maître en 1602 en qualité de gendre (nov. 1602) de l'imprimeur-libraire de Rouen Raphaël Du Petit Val, il semble avoir exercé dès janv. 1601. De confession calviniste. Publie en 1647, en latin, un catalogue de sa librairie. Dit âgé de 74 ans et 8 mois lors de son décès (juin 1652)

A souvent travaillé en association avec ses beaux-frères Jacques I Besongne et David Du Petit Val

Libraire. - Fils du libraire parisien Gilles Blaise et gendre (janv. 1602) du libraire-relieur Raoullet Rezé. Acquitte la taxe d'ouverture de boutique en 1600-1602 mais n'est reçu officiellement libraire qu'en 1606. Vend son fonds en 1641 mais semble avoir continué à exercer jusque vers 1652. Décédé à Paris en mai 1654. Veuve décédée en déc. 1658

Publie une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Nom patronymique : Jeanne Burée. - Imprimeur

Publie au moins une mazarinade en 1652. Peut-être s'agit-il d'un pseudonyme

Abbaye de Cisterciennes fondée en 1652 par Jegado de Chrecholain, qui offrit le domaine de Kerlot à Plomelin en échange de la nomination de sa soeur comme première abbesse. L'abbaye fut transférée à Quimper en 1668. Fermée à la Révolution, elle devint lieu de détention en 1793, puis propriété privée. Elle fut démolie en 1972

En 1652, Jeanne Langlois, aidée du Père du Pont, fonda à Périers (Manche) une communauté religieuse pour l'enseignement des enfants pauvres. En 1783 la communauté fut érigée en Institut diocésain sous le vocable du Sacré-Coeur. Elle fut transférée à Coutances en 1858

Avec la création d'autres communautés en Ille-et-Vilaine, Manche, Seine, Val-de-Marne et au Congo, Coutances est devenue la Maison-Mère de la congrégation. Celle-ci forme une fédération avec deux congrégations du Coeur-Immaculé de Marie, situées à Nogent-le-Rotrou et Vire

Les Filles de la Providence (fondées en 1632) prirent possession le 11 juin 1652 d'une propriété offerte par Anne d'Autriche non loin du Val-de-Grâce. Elles y fondèrent une maison d'accueil pour les "femmes perdues" dont les statuts furent rédigés par saint Vincent de Paul. Le nombre des religieuses s'y multiplia, et de nouvelles communautés furent fondées dans les paroisses de Saint-Louis-en-l'Ile, Notre-Dame, Saint-Germain-l'Auxerrois, faubourg Saint-Germain, Ville-Neuve. - En septembre 1792 on ordonna aux soeurs d'évacuer. Le couvent fut vendu le 20 mai 1797 et démoli

Hôpital fondé rue du Bac par Angélique Faure le 1er avril 1652, et donné aux religieux de la Charité, les frères Saint-Jean-de-Dieu, pour y accueillir les convalescents sortant de leur hôpital. - Il ne recevait que les personnes sans revenus. - À la fin du XVIIIe siècle, il comptait 24 lits. - Resté ouvert pendant la Révolution, l'hôpital fut vendu en 1812

Congrégation enseignante féminine, fondée à Paris par Saint Vincent de Paul et la vénérable Marie Lumague, veuve de Pollalion. - La révision de leurs Constitutions a été approuvée en 1985

Colonie hollandaise de 1652 à 1795, puis colonie britannique de 1795 à 1910 ; devint ensuite la province du Cap, au sein de l'Union sud-africaine, puis de la République d'Afrique du Sud

Imprimerie-librairie. - Imprimerie fondée en 1623 par l'archevêque d'Esztergom, Péter Pázmány, chef de file de la Contre-Réforme en Hongrie, à Pozsony (Pressburg ; aujourd'hui Bratislava, Slovaquie). L'imprimerie est confiée aux Jésuites à partir de 1626. Imprime surtout des ouvrages de Pázmány, d'autres livres catholiques ou à l'usage de l'université jésuite de la ville. Dirigée par Jakab Némethi de 1626 à 1644 et Zakarias Dominik Aksamitek de 1647 à 1649. La majeure partie du matériel de l'imprimerie est déménagée en 1648 à Nagyszombat (Tirnau ; aujourd'hui Trnava, Slovaquie), où elle forme l'imprimerie de l'université jésuite de Nagyszombat, fondée en 1635 par Pázmány (ancêtre de l'université de Budapest d'aujourd'hui)